Agenda
Le Mans 5–6 avril 2013 : Musiciennes en duo
« Musiciennes en duo, compagnes, filles, sœurs d’artistes », Le Mans, rencontres (ouvertes à tous et toutes), vendredi 5 et samedi 6 avril 2013
Que fait le couple à la musique des femmes ??? Au-delà des emblématiques Nannerl Mozart, Fanny Mendelssohn ou Clara Schumann… il est temps d’étudier les relations qu’ont tissées les musiciennes de toutes les époques, hier et aujourd’hui, avec des artistes en tous genres (hommes ou femmes et quel que soit l’art pratiqué), dont elles furent compagnes, conjointes, sœurs ou filles, que ces relations soient de l’ordre de la complémentarité, de l’émulation, de la rivalité, de la soumission, de l’effacement ou de l’auto-censure… Le CReIM et le CERHIO vous proposent une journée et demie d’échanges, ouverts à tous et toutes, autour de ce thème.
Vendredi 5 avril 9h30 à 17h30 – Amphithéâtre des Beaux-Arts (ESBA-TALM), 28 avenue Rostov-sur-le-Don
• 9h30 — Accueil et Introduction par Caroline GIRON-PANEL (BnF) et Sylvie GRANGER (Université du Maine, CERHIO)
I — Couples d’artistes : complémentarités ou rivalités ?
• 10h — Raphaëlle LEGRAND (Paris IV-Sorbonne, PLM) : Chanteuses à la Comédie Italienne et mariées à des artistes, Favart, Laruette, Trial et Dugazon
• 10h30 — Florence LAUNAY (CReIM, Darmstadt) : Compositrices et mariées au XIXe siècle : les exemples positifs de Clémence de Grandval, Louise Farrenc, Loïsa Puget et Marie Jaëll
11h : discussion – pause
• 11h30 — Nicolas DERNY (Belgique) : Vítězslava Kaprálová (1915–1940) et Bohuslav Martinů, entre émulation et complémentarité
• 12h — Renaud BOUCHET (Université du Maine, CERHIO) : Éliane Radigue, compositrice, et la pratique de création de son mari peintre, années 1950–1960
• 12h30 — discussion
• 12h45 — Déjeuner
II — Duos, trios et plus…
• 14h30 — Rosalba AGRESTA (BnF/EPHE) : Arabella Goddard et James William Davison : un couple au service des “classiques” dans l’Angleterre victorienne
• 15h — Frédérick SENDRA (Université de Poitiers/CRIHAM EA 4270) : « Je donne ces poèmes, nés d’elle » : la poétesse Jehanne d’Orliac (1883–1974) et la pianiste Geneviève Dehelly (1885– 1970), un duo entre littérature et musique
• 15h30 — discussion-pause
• 16h — Jérôme ROSSI (Université de Nantes) : Ladies of English Music : le règne des sœurs Harrison (1er tiers du XXe siècle)
• 16h30 — Jérôme DORIVAL (Haute École de Musique de Lausanne Fribourg) : Hélène de Montgeroult et son entourage artistique
• 17h-17h30 : discussion
• 20h30-22h — balade nocturne dans quelques lieux de musique de la ville ancienne (ouverte aux communicant.e.s et aux auditeurs intéressés, dans la limite de 25 places disponibles, dans l’ordre des inscriptions auprès de Sylvie.Granger@univ-lemans.fr)
Samedi 6 avril 9h00 à 13h – Auditorium du Musée Carré Plantagenêt, rue Claude-Blondeau
III — Musiciennes en duo : perspectives historiques
• 9h00 — Isabelle RAGNARD (Paris IV-Sorbonne, PLM) : La Jongleresse au Moyen Âge : seule ou accompagnée ?
• 9h30 — Caroline BEC (Paris IV-Sorbonne, CLEA EA 4080) : Sabina Pasqual, comédienne-chanteuse espagnole (1688–1727) : mère, épouse et fille de musiciens
• 10h — Bertrand POROT (Université de Reims, CERHIC/PLM Paris IV-Sorbonne) : Les musiciennes de la Foire dans la première moitié du XVIIIe siècle : filles, sœurs, épouses, les couples d’artistes
• 10h30 — discussion-pause
• 11h — Catherine CESSAC (CNRS/CMBV) : Élisabeth Jacquet de La Guerre, sa famille et ses proches en harmonie ?
• 11h30 — discussion-conclusion : Raphaëlle Legrand
• 12h15 à 13 h – Concert de Catherine SAMOUEL : Pièces de clavecin d’Élisabeth Jacquet de La Guerre, présentation Bertrand Porot.
Catherine SAMOUEL en concert le dimanche 10 mars dernier au Musée de Tessé (Le Mans) sur le thème “Paysages en voyage”
• 13h00 — Fin du colloque
Colloque co-organisé par : CReIM, CERHIO/Université du Maine, Société Sciences et Arts de la Sarthe,
(avec l’appui de : Délégation départementale aux Droits des Femmes, Conseil Scientifique et Relations Internationales de l’Université du Maine, Conseil Régional des Pays-de-la-Loire, Conseil général de la Sarthe, Le Mans-Métropole, Ville du Mans, ESBA-TALM, CERHIC de Reims, CNRS/CMBV, OMF-Paris IV-Sorbonne, PLM –Paris IV-Sorbonne, Université de Nantes).
Le comité d’organisation : Caroline GIRON-PANEL, Sylvie GRANGER, Bertrand POROT
caroline.panel@gmail.com / Sylvie.Granger@univ-lemans.fr / bertrand.porot@gmail.com
-> à noter : le samedi 6 avril, de 14h00 à 15h30, dans la prolongation du colloque, une réunion CReIM permettra de présenter le Cercle de Recherche Interdisciplinaire sur les Musiciennes aux personnes intéressées et de faire le point sur les projets en cours (publications en ligne, rencontres suivantes etc…).
-> à savoir : Le Mans est à 55 minutes de Paris-Montparnasse en TGV, à 2 heures de Reims, à 3 heures de Lyon ou de Lille…
-> le week-end des 6 et 7 avril 2013, se dérouleront aussi au Mans les journées “Le Mans’Art” dédiées aux métiers des arts et du patrimoine, dans le cadre historique de la ville ancienne (cathédrale, abbaye St-Vincent, hôtels particuliers…). Expositions, visites, conférences, rencontres avec des professionnels, concert…
Journée d’étude Kaija Saariaho au CDMC le 26 avril 2013
Journée d’étude internationale « Les œuvres de Kaija Saariaho – entre inspiration visuelle et influence littéraire » En présence de Kaija Saariaho
CDMC, Paris – 26 avril 2013 (Centre de documentation de la musique contemporaine, 16 place de la Fontaine-aux-Lions, 75019 PARIS)
Organisée par Márta Grabócz – IUF et GREAM, Université de Strasbourg
(email : grabocz@club-internet.fr) en collaboration avec Anne Sivuoja, Académie Sibelius, Helsinki
(Dans le cadre du « Domaine privé Kaija Saariaho », Cité de la musique, Paris, 17–23 avril 2013)
Séminaire EHESS — Genre et création dans l’histoire des arts vivants
Séminaire EHESS - Genre et création dans l’histoire des arts vivants (xvie–xxie siècles) Vendredi 22 mars 2013
15 h à 19 h (salle 6, 105 bd Raspail 75006 Paris)
Invitées :
Tomoko Takaze (Université de Meiji) « La Rose de Versailles, ou la Révolution de la femme dans l’univers des mangas »
Hyacinthe Ravet (Université Paris-Sorbonne) « Maestra ou Madame le Chef ? Place et reconnaissance des cheffes d’orchestre aujourd’hui »
Programme complet du séminaire
Organisation : Elizabeth Claire, chargée de recherche au CNRS Catherine Deutsch, maîtresse de conférences à l’Université Paris-Sorbonne (Paris-IV) Raphaëlle Doyon, chercheuse postdoctorante LABEX CAP
http://www.ehess.fr/fr/enseignement/enseignements/2012/ue/750/
Sixième rencontre du CReIM
Vendredi 22 février 2013, 15h-19h
Université Paris-Sorbonne
Centre universitaire Clignancourt
2 rue Francis de Croisset, 75018 Paris
(Métro Porte de Clignancourt)
Salles 126 et 117
Conditions de femmes, conditions de la voix
Présidente de séance : Raphaëlle Legrand (Université Paris-Sorbonne)
Salle 126
15h Accueil et introduction : actualités du CReIM
15h15 Paola Luna (Doctorante en musicologie, Paris-Sorbonne) : Les Adorations à
l’Enfant-Dieu, à Guapi et Cali (Colombie)
16h00 Sarah Nancy (Université Sorbonne Nouvelle) présentera son livre La voix féminine
et le plaisir de l’écoute en France aux XVIIe et XVIIIe siècles (Garnier, 2012)
Discutante : Raphaëlle Legrand
16h45 Pause
Salle 117
17h00 Table ronde animée par Théodora Psychoyou (Université Paris-Sorbonne)
- Autour de « Quelques mots à chanter », théâtre musical par Arielle Dervieu
(chant), Nathalie Jadot (comédienne), Mireille Le Gouil (piano)
- Rencontre avec Isabelle Aboulker, compositrice
Séance organisée par Raphaëlle Legrand et Théodora Psychoyou
Festival Présences Féminines du 15 au 23 mars 2013
Pour sa troisième édition, le Festival Présences Féminines qui se tient à Toulon du 15 au 23 mars 2013, fera une place de choix à d’autres compositrices qui n’avaient pas été encore présentées les deux années précédentes : Germaine Taillefer, Charlotte Sohy, Amy Beach, Kaija Saariaho et Alice Mary Smith.
Comme l’annonce sa Directrice artistique, Claire Bodin, sur www.les bijouxindiscrets.org deux nouveautés sont au programme : un concert symphonique avec l’Opéra de Toulon et un concours national ayant pour issue une finale publique qui sollicitera le vote de chacun.
A l’instar des deux premières éditions, des conférences seront également proposées.
Consultez d’ores et déjà le programme complet ici !
Musiciennes en duo : appel à communication
Musiciennes en duo, compagnes, sœurs ou filles d’artistes — Le Mans, vendredi 5 & samedi 6 avril 2013 -
Journées d’étude proposées par le CReIM, l’Université du Maine et le Centre de Recherches Historiques de l’Ouest [CERHIO, UMR 5268],
avec l’appui du CERHIC de Reims, de Patrimoines et Langages Musicaux [PLM, EA 4087, Paris-Sorbonne], de l’Observatoire Musical Français [OMF, EA 206, Paris-Sorbonne], de la Délégation Départementale Sarthe aux droits des Femmes et des collectivités locales, Ville du Mans et Conseil régional des Pays-de-la-Loire…
Dans une perspective d’histoire du genre, l’objectif de ces journées d’étude est de toujours mieux éclairer la place des femmes dans les processus de création et de pratique artistique, hier et aujourd’hui. Comme l’ont illustré les travaux récents des historiens, musicologues et sociologues — notamment dans le cadre des cinq journées du CReIM qui se sont tenues entre 2010 et 2012 —, la place des artistes de sexe féminin, et tout particulièrement des musiciennes, apparaît minorée dans le cadre général des études sur les œuvres et la vie culturelle. En dépit d’un apport indéniable à la création artistique, leur absence des grandes monographies ou des études de cas les rend invisibles, en limitant souvent leur rôle à celui de muse ou d’inspiratrice.
Prenant le contre-pied de cette approche réductrice, l’angle retenu pour ces rencontres consiste à observer les liens des musiciennes avec les artistes qui, dans leur entourage immédiat, furent leurs alliés, leurs rivaux, leurs modèles ou leurs complices. Ces journées d’étude se proposent d’analyser de quelles manières les musiciennes ont articulé leurs rapports à cet entourage, afin de repérer à la fois les obstacles et les échecs, mais aussi les atouts, les victoires et les succès rencontrés par les femmes sur le chemin de l’épanouissement musical, hier et aujourd’hui : quelle place pour la musicienne au sein d’un “duo” d’artistes ? En quoi la relation de couple influe-t-elle — ou non — sur la création et la pratique musicale féminine ???
Au-delà des emblématiques Fanny Mendelssohn et Clara Schumann, il s’agira d’étudier les relations qu’ont tissées les musiciennes de toutes les époques, avec des artistes en tous genres (hommes ou femmes et quel que soit l’art pratiqué), dont elles furent compagnes, conjointes, sœurs, ou filles, que ces relations soient de l’ordre de l’équilibre, de la complémentarité, de l’émulation, de la rivalité, de la soumission, de l’effacement, de l’auto-censure…
Comité d’organisation : Caroline Giron-Panel (BnF), Sylvie Granger (CERHIO UMR 5268, Université du Maine), Bertrand Porot (CERHIC, Université de Reims).
Comité scientifique : CReIM http://www.creim.fr/
Lieux des débats : Le Mans, auditorium du Musée d’Archéologie et d’Histoire (Carré Plantagenêt) et amphithéâtre de l’École Supérieure des Beaux-Arts Tours-Angers-Le Mans (ESBA TALM), tous deux situés dans le centre historique de la ville, à proximité immédiate de la Cité fortifiée.
-> à savoir : Le Mans est à 55 minutes de Paris-Montparnasse en TGV, à 2 heures de Reims, à 3 heures de Lyon ou de Lille…
Les propositions de communications seront envoyées avant le 15 décembre 2012, accompagnées d’un résumé de 2 000 à 3 000 signes et d’un titre explicite, simultanément aux trois adresses suivantes :
caroline.panel@gmail.com /
Sylvie.Granger@univ-lemans.fr /
bertrand.porot@univ-reims.fr
Cet appel est ouvert aussi aux doctorant.e.s et jeunes chercheurs / chercheuses.
La publication des communications est prévue sur le site du CReIM (après passage en comité de lecture).
Soutenance de thèse de Caroline Bec
Le Samedi 8 décembre à 9h00
à L’Institut d’Études Hispaniques de l’Université Paris-Sorbonne (Paris IV), Salle DELPY,
(31, rue Gay Lussac, 75005, Paris).
LES COMÉDIENNES-CHANTEUSES A MADRID AU XVIIIe SIÈCLE (1700–1767)
ÉTUDE SOCIO-CULTURELLE
sous la direction de Madame Le Professeur Annie Molinié-Bertrand
Durant la première moitié du XVIIIème siècle, en Espagne, tout particulièrement à Madrid, principal lieu de résidence de la Cour et capitale du royaume, divers facteurs historiques, culturels et artistiques engendrèrent une évolution de la profession de comédienne vers une spécialisation lyrique.
Dans chaque compagnie, le nombre de comédiennes-chanteuses augmenta régulièrement, les attributions de chacune (fonction ou emploi) se précisant peu à peu jusqu’à l’interprétation exclusive de drames en musique en langue espagnole. Aussi la place principale que l’on attribua désormais aux comédiennes-chanteuses modifia-t-elle leur existence, leur formation et l’exercice de leur métier. D’autre part, la présence d’interprètes lyriques italiens à Madrid entre 1737 et 1759 réorienta l’évolution des fonctions des chanteuses espagnoles.
Dans une perspective historique et sociale centrée sur la période 1700–1767, cette étude considère tout d’abord les origines et la vie privée de ces artistes dans la Villa y Corte, puis les différents aspects de leur vie professionnelle, et enfin, leur place dans la société madrilène et plus largement espagnole, ainsi que le regard porté sur elles par leurs contemporains.
Annonce Journées d’études 26–27 octobre 2012
NOMMER, PENSER, INSCRIRE LA CRÉATION DANS L’HISTOIRE :
LES ARTS VIVANTS AU PRISME DU GENRE (XVIe-XXe SIÈCLES)
Journées d’études organisées par
Elizabeth CLAIRE (CNRS/CRH-CRAL)
Catherine DEUTSCH (UNIV. PARIS-SORBONNE)
Raphaëlle DOYON (LABEX CAP/CRAL-HiCSA)
Vannina OLIVESI (UNIV. PROVENCE)
La recherche en histoire des arts et du genre a montré que l’art plastique et la littérature sont des productions culturelles liées aux idéologies esthétiques et sociales qui mettent en œuvre et maintiennent des systèmes de valeur genrés. Qu’en est-il pour les arts performatifs, la danse, la musique, ou le théâtre ? La prise en compte des contributions des femmes dans ces arts concourt à modifier les grands récits historiques. Elle renouvelle notre compréhension de la mise en pratique des théories et des valeurs esthétiques. Nous souhaitons prolonger une réflexion qui aille au-delà d’une simple reconnaissance de la contribution des femmes dans le domaine des arts vivants. Étudier le genre dans les actes de création et d’interprétation nous invite à soulever certaines questions et paradoxes inhérents à ces arts. Les notions de présence scénique et de traces, ainsi que les discours mémoriels et historiographiques qui entourent la création méritent toute l’attention de l’historien.
Nous souhaitons notamment questionner les conceptions de l’art et de l’esthétique héritées du Romantisme, les croyances autour de la figure de l’artiste singulier investi d’un génie. Nous cherchons à comprendre comment l’encadrement institutionnel des artistes, en écartant la contribution des femmes, ont surdéterminé la reconnaissance et la valorisation de la création au masculin. L’étude des pratiques et des discours des créatrices et des créateurs qui transgressèrent les modèles normatifs de la création nous permettra également d’explorer comment celles-ci ont pensé et/ou construit historiquement des contre-exemples et des stratégies de résistance à ces modèles.
La périodisation de ce projet se veut assez large pour parvenir à des analyses autant diachroniques qu’exemplaires de micro-histoires et d’études de cas. Une approche transdisciplinaire permettra d’examiner la création « féminine » et « masculine » dans tous les arts vivants (amateurs et professionnels) et d’explorer les pratiques culturelles mises à l’écart des définitions traditionnelles du mot art – par exemple, les danses de sociétés ou bien la musique de chambre essentiellement destinée au domaine privé.
Notre réflexion se décline selon trois axes : nommer consistera, pour chacun des arts, à étudier les représentations sociales associées à la définition des pratiques féminines ; penser posera la question de savoir dans quelle mesure les musiciennes, danseuses et actrices se considéraient elles-mêmes comme des « créatrices » ; inscrire reviendra à s’interroger sur leur inscription dans l’histoire et sur les mécanismes qui en ont favorisé l’oubli.
Vendredi 26 octobre 2012
École des Hautes Études en Sciences Sociales
Salle 8, 105 Bd Raspail, 75006 Paris
9h00-9h30 – Accueil avec café & croissants
9h30-10h15 – Problématique générale des journées
Théâtre, danse, musique : la création dans l’histoire au prisme du genre
Elizabeth Claire (cnrs), Catherine Deutsch (Univ. Paris-Sorbonne),
Raphaëlle Doyon (labex cap), Vannina Olivesi (Univ. Provence)
10h15-12h30 – Penser, inscrire : représenter l’ambiguité du genre
Modéré par Sophie Jacotot (Centre d’histoire sociale du xxe siècle)
Muriel Plana (Univ. Toulouse II-Le Mirail)
Femmes et création : réflexions autour de Clara S. d’E. Jelinek
Patrizia Veroli (Università La Sapienza, Rome, Italie)
Danser en couple : élisions, déguisements, syntonies? Le cas des Sakharoff
Yvonne Hardt (Universität zu Köln, Allemagne)
Re-Visiting Ausdruckstanz and Masculinity in Germany in the 1920s & 1930s:
Reflections on Gender and historiographical methods
12h30-14h00 – Pause déjeuner
14h00-16h30 – Penser : image de soi et représentations
Modéré par Esteban Buch (CRAL-EHESS)
Rosalba Agresta (Bibliothèque nationale de France/EPHE)
Etre musicienne dans l’Angleterre du XIXe siècle : le cas de Louise Dulcken (1811–1850)
Mouna Belghali (chercheuse, comédienne)
L’apparition et l’évolution des actrices dans le théâtre marocain : rôles et image
Anne-Françoise Benhamou (ENS, dramaturge)
Metteures en scène, personnages féminins : de quelques questions de genre posées au théâtre
d’aujourd’hui
16h30-17h00 – Pause café
17h00-18h00 – Débat avec la salle et synthèse de la journée
En présence du comité organisateur et des modérateurs, modératrices et intervenant-e-s.
Samedi 27 octobre 2012
Institut national d’histoire de l’art
Galerie Colbert, Salle Jullian, 1er étage
2 rue Vivienne, 75002 Paris